Coup de sang à Saint-Tropez
Bernadette Chirac a une étrange requête : elle demande de la discrétion… à Saint-Tropez.
Comme chaque été depuis de nombreuses années, Jacques et Bernadette Chirac
partent chaque été se repos… euh, se montrer à Saint-Tropez. C’est
simple, Saint-Trop' en été, c’est comme Cannes en plein Festival :
l’endroit où il faut séjourner pour être vu. La preuve :
dès sa première sortie lundi à une terrasse de restaurant, Jacques Chirac a
fait crépiter les flashs et s’agiter les plumes. L’ex-président est
certes fatigué, mais ne déroge pas à la règle : il a dégusté une petite
tomate.
Bernadette, elle, préfère la discrétion, surtout quand elle va faire ses courses chez Loro Piana, une célèbre maison de couture italienne. Lorsque la première dame se présente, les portes sont fermées : le magasin a été privatisé pour le shopping d’Elton John et David Furnish, nous apprend Var Matin. Elle patiente quelques instants, parvient à entrer et part fouiner à l’étage, quand le chanteur britannique se prélasse dans les salons de la boutique au rez-de-chaussée.
Vers 17 heures, les parents de Zachary quittent les lieux, les bras chargés de paquets. Vingt minutes plus tard, Bernie prend leur suite, escortée de son garde du corps, un seul petit paquet Loro Piana à la main. Là, les photographes la suivent et ça ne lui plaît pas du tout : « Écoutez, je ne suis pas dans un moment de vie professionnelle, leur a-t-elle lancée passablement énervée d’après le quotidien varois. J’essaie simplement de passer un moment de tranquillité à Saint-Tropez et de me détendre. Et ce n’est pas facile, ici, avec cette nuée de photographes qui me suit en permanence… » Cette pauvre Bernie n’a pas une vie facile facile.