Carrie et ses copines ne prolongeront peut-être pas leur shopping au cinéma.
Et si on en restait là pour Sex and the city au cinéma ? Chris Noth est convaincu qu’il n’y aura pas de troisième film pour Carrie ( Sarah Jessica Parker ), Samantha ( Kim Cattrall ) et les autres. Jusqu’à indiquer au New York Magazine que cette licence était clairement morte. La faute de la presse selon l’acteur : "C'est fini. La franchise est cuite. La presse l'a tuée. C'est comme si tous les critiques s'étaient unis pour dire : 'cette saga doit finir'. Ils avaient tous le même point de vue. C'est comme si ils n'avaient pas vu le film".
On peut plus raisonnablement penser que la production ne veut pas risquer un fiasco avec un nouvel épisode : suite au succès de la série, le premier Sex and the City avait été des plus rentables (415 millions de dollars pour un budget sept fois moindre), le second beaucoup moins (290 millions de dollars pour une mise d’un peu plus de 100 millions de dollars, dont seulement 95 millions aux Etats-Unis, ce qui est plutôt mauvais signe, un film de cette envergure remboursant souvent son budget rien qu'avec les recettes américaines). Si on y ajoute la rivalité croissante, limite crêpage de chignon entre Sarah Jessica Parker et Kim Cattrall, la réticence à mettre en chantier un troisième volet est compréhensible…
Et si on en restait là pour Sex and the city au cinéma ? Chris Noth est convaincu qu’il n’y aura pas de troisième film pour Carrie ( Sarah Jessica Parker ), Samantha ( Kim Cattrall ) et les autres. Jusqu’à indiquer au New York Magazine que cette licence était clairement morte. La faute de la presse selon l’acteur : "C'est fini. La franchise est cuite. La presse l'a tuée. C'est comme si tous les critiques s'étaient unis pour dire : 'cette saga doit finir'. Ils avaient tous le même point de vue. C'est comme si ils n'avaient pas vu le film".
On peut plus raisonnablement penser que la production ne veut pas risquer un fiasco avec un nouvel épisode : suite au succès de la série, le premier Sex and the City avait été des plus rentables (415 millions de dollars pour un budget sept fois moindre), le second beaucoup moins (290 millions de dollars pour une mise d’un peu plus de 100 millions de dollars, dont seulement 95 millions aux Etats-Unis, ce qui est plutôt mauvais signe, un film de cette envergure remboursant souvent son budget rien qu'avec les recettes américaines). Si on y ajoute la rivalité croissante, limite crêpage de chignon entre Sarah Jessica Parker et Kim Cattrall, la réticence à mettre en chantier un troisième volet est compréhensible…
